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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2252763

ABSTRACT

Background: A spectrum of long-term COVID19 effects have been reported. Much less data areavailable about how COVID19 will affect sleep over time in recovered patients. We Assessed the long-term impact of COVID 19 infection on sleep. Methodology:A prospective cohort study including 84 Tunisian COVID19 patients discharged fromhospital. Patients were asked about the period before SARS COV2 related hospital stay, and the 6-9 month-period after hospital discharge, using several self- reported evaluation scales (Pittsburgh Sleep Quality Inde, the Insomnia Severity Index, Epworth Sleepiness Scale, Patient Health Questionnaire (PHQ)-9 and the EuroQol five-dimension five-level questionnaire). Result(s): The mean age was 57,59 years with 46 men and 38 women. As compared with baseline statue of patients, all assessed outcomes were significantly impaired (VAS pain: 1,71+/-1,1 Vs 3,8+/-2,84;PSQI: 3,25+/-2,4 VS 6,39+/-4,73;ESS: 1,94+/-2,44 VS 3,59+/-4,53;ISI: 1,95+/-2,76 VS 6,07+/-5,96, and PHQ-9: 1,45+/-2,74 VS 7,47 +/- 6,61;p=0.0001). The percentage of poor sleepers (PSQI global score higher than 5) and patients with insomnia had significantly increased from 15,5% to 48,8% and from 1,2 to 11%, respectively (p=0.0001). The percentage of patients experiencingdepression symptoms has also doubled (25% to 58,3%), while severe pain was reported by more than one out of five patients against only 1,2% at baseline. The post-COVID -19 PSQI was significantly correlated with body mass index (r=0,328, p=0,003);the post-COVID-19 VAS pain (r=0,479, p=0,0001) as well as the post-COVID-19 PHQ-9 scale (r=0,712, p=0,0001). Conclusion(s): Sleep disturbances, depression symptoms as well as chronic pain are highly prevalent in long-term follow-up period in hospitalized COVID19 survivors therefore,they should be systematically screened.

2.
Tunisie Medicale ; 99(7):764-766, 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1812897

ABSTRACT

The Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) pandemic has displayed heterogeneity in disease manifestations and complications. This case report illustrates a rare issue : the spontaneous pneumomediastinum. A 73-year-old male presented with chills, and respiratory symptoms. A reverse transcriptase polymerase chain reaction (RT-PCR) test- confirmed COVID19. At admission, the patient was in severe respiratory distress. C reactive protein was 54 mg/l (normal: 0-5 mg/l), , troponin were negative, brain natriuretic peptid 55 pg/ml (normal range <100 pg/ml) and D-dimer 700 mcg/l (normal: 0-500 mcg/l). Arterial blood gases showed pH 7.49 (normal: 7.35-7.45), PCO2 33,8 mmHg (normal: 34-46 mmHg) and PO2 56 mmHg (normal: 80-97 mmHg) with 16 liter per minute of oxygen. Computed tomography of the chest (CT chest) showed diffuse groundglass opacities (60-70%) without pulmonary embolism. Diagnosis of acute respiratory distress syndrome (ARDS) was made. Low flow oxygen was provided (Oxygen saturation target ≥ 94%), intermediate dose of low molecular weight heparin and 8mg of dexamethason were administarted daily. On day 10, worsening hemodynamics and blood oxygen levels was noted. CT chest showed moderate bilateral pneumomediastinum, without pneumothorax, persistent groundglass opacities (75%) with early fibrosis elements. The patient recovered with no pulmonary sequelae. This case report encourages health workers to get used with infrequent clinical and radiological manifestations of COVID-19 that is still surprising the world.

3.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1701563
4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):109, 2022.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-1586699

ABSTRACT

Introduction Le SRAS-CoV-2 est devenu le problème de santé public dans le monde entier depuis plus d’un an, provoquant des atteintes parfois mortelles. De nombreux pays, dont la Tunisie, ont commencé leurs programmes de vaccination à grande échelle, puisqu’il s’agit du moyen unique pour réduire la gravité des formes cliniques et réduire la contagion. Méthodes Il s’agissait d’une étude prospective qui s’est déroulée au mois de juin 2021 à Sfax. Le recueil des données s’est fait en parcourant des lieux publics (cafés, salons de thé, grandes surfaces…) et en invitant les participants à répondre à un questionnaire auto-administré à propos de la vaccination. Résultats Il s’agissait de 100 participants, dont la majorité étaient des hommes (56 %). La tranche d’âge entre 20 et 50 présentait 67 % des cas. Un niveau d’étude supérieur était noté dans 76 % des cas. Une activité professionnelle était notée dans 60 % des cas. Tous les candidats étaient aux courants du démarrage de la compagne de vaccination en Tunisie, dont 19, 57 % étaient inscrit dans la plate-forme evax. Des connaissances à propos des types de vaccins étaient présentes dans 90 % des cas. Au moins une dose de vaccin anti-COVID-19 était reçue par n=27 personnes, dont 88 % vaccinées par un vaccin à ARN. L’effet secondaire le plus fréquent était l’asthénie. L’absence totale d’une motivation à la vaccination était notée dans 45 % des cas, dont l’âge moyen était de 44 ans. La réticence a concerné tous les types de vaccins dans 90 % des cas. Le motif le plus fréquent du refus de la vaccination était la peur des effets secondaires. Pour les sujets motivés à se faire vacciner, le mobile était la présence de tares dans 22 % des cas et la volonté de protéger son entourage dans 27 % des cas. Par ailleurs, des comorbidités étaient présentes dans 33 % des cas. La vaccination était imposée par l’entourage chez n=6 personnes. Conclusion L’absence de motivation à la vaccination, notamment chez la majorité de la population jeune est évident en Tunisie. Il est essentiel d’assurer une campagne de sensibilisation surtout chez cette catégorie de gens encore actifs et vecteurs potentiels de transmission virale.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):141, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586633

ABSTRACT

Introduction L’évolution de l’infection par la COVID-19 peut se faire vers la détresse respiratoire aiguë et au décès du patient. L’identification des facteurs pronostiques peut orienter la prise en charge thérapeutique de ces patients. L’objectif de notre étude est d’identifier les facteurs biologiques prédictifs de mortalité chez les patients diagnostiqués avec la COVID-19. Méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective, descriptive et analytique incluant les patients atteints de COVID-19 et hospitalisés entre octobre 2020 et juillet 2021 au service de pneumologie de l’hôpital Hedi Chaker de Sfax. Deux groupes ont été comparés : le groupe G0 comportant les patients ayant une bonne évolution et le groupe G1 incluant les patients dont l’évolution était défavorable. Résultats Nous avons inclus 670 patients (G0=84 % : G1=16 %). L’âge moyen des patients était de 64 ans et le sex-ratio (H\F) était égale à 1,2. Il n’y avait pas de différence statistique entre les deux groupes concernant l’âge et le sexe. Les facteurs biologiques de mauvais pronostique identifiés étaient : un rapport neutrophiles/lymphocytes élevé supérieur à 15 (p<0,001), un rapport neutrophiles\éosinophiles élevé supérieur à 5300 (p<0,001), un taux de CRP élevé supérieur à 150 mg\L (p-0,035), un taux de créatinémie élevé supérieur à 150μmol\L) (p<0,001), un taux des transaminases supérieur à deux fois la valeur normale (p-0,04) et un taux de CPK élevé (>330 U\L) (p-0,02). Conclusion Nos résultats sont cohérents avec les données de la littérature. Ces facteurs prédictifs pourraient aider les cliniciens à identifier les patients ayant un mauvais pronostic à un stade précoce réduisant ainsi la mortalité liée au COVID-19.

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